Sibi-Bogdan Teodorescu : Est tu d'accord sur le fait que la peinture suppose un acte d'appropriation tandis que la danse travaille une dissolution du corps, malgré une physicalité affirmée ? Si oui, si non, par quels moyens ? Dorian Chavez : Oui, la peinture présuppose une tentative d’appropriation du réel, mais son désir plus profond, rarement atteint, est de faire corps avec ce qui est peint. Une pomme, quelques vases, deux trois figures totemiques arrivent à rendre visible ce que les yeux supportent à peine. La danse travaille comme tu dis à une dissolution du corps, mais même on pourrait dire à une disparition de ce qui est organisé dans le corps, un écroulement organique, une débauche orgiaque. S-BT : Je t'inviterai à raconter de façon brève ton parcours artistique en insistant un peu sur le foot. Quels seraient à ton avis le liens profonds entre la danse et le foot en particulier et entre ce dernier et l'art en g
In November 2021, Czech artist Adéla Janská opened her solo show at IOMO Gallery in Bucharest, the chance not only to enjoy her work, but her charming presence as well. She was so kind to give feedback to my questionnaire and illustrate it with some images from her studio. Sibi-Bogdan Teodorescu: Your work has been attached to a certain form of feminism, according to sources as thesomethingmachine.com , for instance; do you identify with? In my opinion your pictures are more of a synthetic image of the woman as an icon or an emblem, since their body recall rather a sort of reshaping into something close to sculpture and patterns. Adéla Janská: I cannot say that I have been identifying with it. To be honest , if is not so essential for me. On one side, it is interesting to observe how my work is interpreted and at which context it is involved. On the other hand, the crucial thing is my activity at the studio. For me, the process is more important than it'